Napoléon Bonaparte 1769/1821 Cette peinture est une inspiration de deux oeuvres des peintres, Antoine-Jean Gros et Jacques-Louis David. Cette peinture est une allégorie de Napoléon Bonaparte « Bâtisseur ». Nous découvrons Napoléon la main à peine posée sur des plans avec à son côté une maquette de l’Arc de Triomphe de l’Etoile à Paris. Napoléon ordonna la construction de l’Arc en 1806 à la gloire de la grande armée. Sur les plans nous devinons l’esquisse d’un des quatre hauts-reliefs de l’Arc, « Le Triomphe » . Sur les autres plans nous apercevons les tracés des rues et la place Charles de Gaulle-Etoile ainsi que l’écriture « Arc de » .

La peinture du XVIII ème siècle Français et plus précisément Marie-Antoinette ont servi d’inspiration pour ce portrait de femme aux yeux fermés. Un regard clos pour mieux savourer les effluves florales s’émanants de sa chevelure féerique. La palette de couleurs roses est très largement dominante, rehaussée de rubans bleus vifs afin d’apporter un contraste. La touche de romantisme est accentuée avec la délicate tourterelle posée sur une branche.

Jules César ou simplement appelé César, est un général, homme politique Romain né en juillet 100 av.JC et mort en mars 44 av.JC à Rome. « Imperator », est le nom donné à la gloire du général quand il revenait de la guerre. Son parcours unique bouleversa et marqua l’histoire universelle. C’était un homme ambitieux, stratège, tacticien qui grâce à son armée, conquerra tout ou presque l’Europe actuelle au nom de la grandeur de Rome. Cette allégorie peinte sur bois et lin enduit, est inspirée par sa statue en marbre que l’ont peu admiré au musée du Louvre à Paris datant du XVIIIème siècle et réalisé par Nicolas Coustou. Sur son bras droit à été peint une série de tatouages très contemporain en contradiction avec son époque.

Pour la création de teodora, Florence Melocco a puisé l’inspiration en mélangeant deux périodes, l’époque Byzantine vers le IV ème siècle et l’époque moderne vers la fin du XIX ème siècle français. En effet Teodora était une impératrice byzantine mais avant son mariage et son couronnement, elle était une danseuse, ce qui était rare pour une femme à cette époque. Femme forte et courageuse elle s’imposa comme danseuse et femme de théatre. Les représentations des portraits étaient beaucoup en mosaïque à cette période, ils étaient réalisés avec en partie des petits carreaux d’or.

Xi Shi, ce personnage légendaire illustrant une des quatre beauté de la Chine fait parti des éléments culturels incontournables de la Chine. Florence Melocco a pensé à une femme très douce, un visage naturel au teint clair, des couleurs féminines. Un camaïeu de roses, des ocres jaunes, et bien sûr du rouge et de l’or. La pensée de Florence Melocco pour réaliser Xi Shi c’est fixée sur un mélange entre les codes de beauté Chinoise et Européenne. Xi Shi porte un hanfu, cet habit honore la grande tradition Chinoise de l’habillement. Sur le tissu intérieur de couleur rouge est peint un dragon entouré de nuage. Son épaule droite est ornée d’une broche typiquement de style XVIII ème siècle Français. Un noeud confectionné avec un tissu de soie, des petites fleurs et des perles de culture.